Ultimate Game
Informations
Titre original: GamerSortie US: 4 Septembre 2009
Sortie France: 9 Septembre 2009 (20 janvier 2010 pour le DVD)
Genre: Science Fiction / Action (95mn)
Avec: Gerard Butler, Michael C. Hall, Zoe Bell
Dirigé par: Mark Neveldine, Brian Taylor
Critiques
Rotten Tomatoes: 29% (basé sur 70 critiques)Metacritic: 27% (basé sur 13 critiques)
Imdb user rating: 5.7 / 10 (21161 votes)
Ma note perso: 6.5 / 10
Synopsis: Dans un monde ou désormais des humains contrôlent massivement d'autres humains dans des jeux ou la frontière entre virtuel et réalité s'est estompée, Kable est un être à part: Il est la star incontestée du jeu ultra violent « Slayers » qui sous le contrôle de son joueur (Simon), enchaîne contre toute attente victoire sur victoire. Mais comme un gladiateur rebelle des temps modernes, Kable espère s'enfuir pour délivrer sa famille, regagner son identité et sauver l'humanité du joug du multimilliardaire Ken Castle.
Mon avis après visionage: Voilà un film que je voulais voir à cause de la présence de Michael C. Hall (le gars de la série Dexter). Il n'a finalement qu'un rôle secondaire même s'il incarne le grand méchant de ce film qui fait plus la part belle à Gerard Butler (vu dans 300 entre autres).
Cette petite série B s'était faite totalement atomisée par la critique lors de sa sortie au cinéma et pour le coup, je suis pas trop d'accord. Bon clairement ce film n'a pas réinventé la poudre ni la bière à la pression ni quoi que ce soit d'autre cher à l'humanité et j'aurais été certainement un peu déçu si je l'avais vu au cinéma... Mais en DVD, il représente une valeur sûre une fois que l'on sait que la bande annonce dit à peu près tout de son histoire et que les producteurs ne se cache pas d'exploiter un filon ultra classique. Car en se focalisant sur son petit scénario sans prétention et sans essayer de nous vendre un concept novateur fantôme, ce film réussit à créer son propre univers avec des archétypes pertinents et une vision d'un monde futuriste intéressant. On suit avec attention l'histoire de Kable qui s'est fait salement entubé et on est vraiment derrière lui (si vous pensez avoir lu un sale jeu de mot ici, vous êtes vraiment un pervers...), on le supporte dans sa quête et on a hâte qu'il aille sauver sa femme et éclater le gros méchant de Michael C. Hall.
Même si ce film souffre de carences d'idées, de profondeur et de jugeote, il lui reste un peu de mojo et c'est un peu comme une petite gâterie: c'est toujours pareil mais on s'en lasse pas...
Après tous, les corporatistes qui exploitent les pauvres gens c'est déjà d'actualité, la pub de masse aussi et la réalité virtuelle est en route. Pas étonnant que les même choses reviennent à l'écran tout le temps...
La Bande annonce:
